• VIVRE PLEINEMENT EN BANNISSANT L’INDIFFÉRENCE

     

    La Société nous contraint de plus à plus à vivre... en mode "accéléré". Il est parfois bon de se recentrer sur l'essentiel et de profiter plus sereinement de chaque journée, en retrouvant la simplicité dans nos rapports humains... à la manière des enfants qui ne calculent pas ce qu'ils vont faire à l'avance, mais sont souvent "cash" dans leurs réparties pleines de bon sens. Et en se souvenant de temps à autre que la vie nous offre souvent de bons moments... malgré toutes les difficultés et les chagrins traversés, au fil des ans.

    N'hésitons pas à redistribuer généreusement la tendresse autour de nous. Un sourire gratuit peut faire tellement de bien à celui qui n'attend plus rien ! 

    Face à la morosité ambiante, ce remède universel apaise bien des angoisses, en enrichissant donneurs et receveurs. Il y a ainsi tant de petits gestes susceptibles d'égayer notre quotidien. Les hommes ont besoin de reconnaissance. Ce qui tue le plus, dans nos pays dits "riches", c'est l'indifférence.... Comme le chantait si bien Gilbert Bécaud, il y a quelques décennies déjà ! ... Et la connerie pardon ! bêtise humaine.

    VIVRE PLEINEMENT EN BANNISSANT L’INDIFFÉRENCE

    Ce fléau moderne est à l'origine de bien des suicides... des études sérieuses prouvant, statistiques à 'appui, que cette négation de l'individu était celle qui déclenchait le plus de "passages à l'acte". Ne plus exister dans le regard d'autrui, c'est déjà être "mort" ! Il n'y a rien de pire que cette absence de soutien. L'être humain a besoin de raisons de vivre tout autant que de moyens.

    Certains redoutaient jadis le passage à l'an 2000... 17 années se sont écoulées depuis... et le monde continue de tourner. Il est devenu plus dur d'y trouver sa place et d'y vivre. Drôle de Société qui privilégie l'aspect matériel au détriment de l'humanité !

    Les ravages de la crise la font de plus en plus péricliter... sans solidarité, impossible de continuer. A nous de faire des choix réfléchis, mesurés. Ceux-ci nous engagent plus que jamais !

    Il n'st jamais trop tard pour rattraper certaines erreurs ! L'essentiel est de le faire rapidement, avec le cœur.

    VIVRE PLEINEMENT EN BANNISSANT L’INDIFFÉRENCE

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  • QUAND NOS DOULEURS PHYSIQUES RÉVÈLENT NOS MAUX D'ÂMES !

    Le saviez-vous ? La douleur est à la fois une énergie, un ressenti et une manifestation physique. La moindre douleur dans notre corps est liée à un état émotionnel particulier et vient nous alerter sur ce qui ne va pas dans notre vies. Une fois que nous intégrons ces leçons, la douleur disparaît.

    Le corps est une caisse de résonance, quand il s'agit de la douleur. Les expériences de votre vie se manifestent directement dans votre corps et, quand vous ressentez un stress émotionnel, votre corps vous montre exactement quel est votre problème. La seule chose que vous devez faire, c'est de "décoder" la douleur lorsqu'elle se manifeste.

    La douleur dans les muscles. 

    Elle représente la flexibilité dont nous faisons preuve dans la vie quotidienne. Cela révèle si nous sommes assez souples dans nos relations, au travail, à la maison ou envers nous-mêmes. Pratiquer le lâcher-prise permet à la douleur de s'estomper.

    La douleur au niveau de la tête.

    Les maux de tête limitent la prise de décision. Les migraines surviennent souvent quand nous avons une décision à prendre et que nous ne la prenons pas. Assurons-nous que nous prenons du temps chaque jour pour nous détendre et diminuer les tensions nerveuses.

    La douleur dans le cou.

    Elle indique que vous avez du mal à pardonner, aux autres ou à vous-même. Si vous sentez une douleur dans le cou, pensez aux choses que vous aimez chez vous ou chez les autres. Essayez de travailler sur le pardon.

    La douleur dans les gencives.

    Comme pour le cou, la douleur dans les gencives est liée aux décisions que vous ne prenez pas ou auxquelles vous ne tenez pas. Soyez clairs dans les objectifs et foncez !

    La douleur aux épaules.

    Elle indique que vous traînez un fardeau émotionnel, d'où l'expression "avoir les épaules larges". Focalisez-vous sur les problèmes que vous êtes seul à pouvoir résoudre, et n'hésitez pas à déléguer certaines choses, si besoin est.

    La douleur à l'estomac.

    Elle survient lorsque vous n'avez pas "digéré", au sens figuré, quelque chose de négatif. Le sentiment de ne pas être respecté provoque une sensation de trou dans l'estomac, qui, s'il est nié, peut dégénérer en ulcère.

    La douleur dans le haut du dos.

    Elle indique que vous manquez de soutien affectif. Vous vous sentez mal aimé(e). Essayez de vous tourner progressivement vers les autres, en vous impliquant, pourquoi pas, au sein d'une association.

    La douleur dans le bas du dos.

    Elle révèle des tensions affectives ou des soucis financiers qui vous "rongent" le moral. Essayez d'en parler à vos proches, pour ne plus porter seul(e)e cette charge.

    La douleur au coccyx.

    Vous êtes "assis" sur un problème qui doit être résolu.

    La douleur dans les coudes.

    Elle montre un manque de souplesse face aux changements de vie. Vous êtes peut-être trop "raide" parfois, dans vos rapports avec les autres. Pratiquez le lâcher-prise laissez-vous aller !

    La douleur dans les bras, les mains.

    Vous portez quelques chose ou quelqu'un comme un fardeau émotionnel. Il est peut-être temps de vous demandez si ça en vaut vraiment la peine, et de rétablir ne saine connexion avec vous et les autres.

    La douleur dans les hanches.

    Elles montrent un manque de souplesse morale. Soyez ouvert(e)  de nouvelles façons de penser, aux leçons et expériences de vie qui sont loin d'être entièrement négatives.

    La douleur aux genoux.

    Le genou, qui peux s'entendre aussi "Je-Nous" symbolise notre relation à l'autre, soumise, agressive ou équilibrée. Le mal de genou indique une difficulté morale à "plier" devant l'autre, ou à accepter les choses qu'on ne peut changer. La tension peut être liée aux autres ou à soi-même.  Rappelez-vous de temps à autre que la perfection n'existe pas, et qu'il vaut mieux ne pas se laisser entièrement dominer par l'ego. 

    La douleur aux chevilles.

    Elle montre que vous ne vous accordez pas le moindre plaisir. Il est grand temps de devenir plus indulgent(e) envers vous-même.

    La douleur aux pieds.

    Elle montre la déprime. Trop de négativité donne des tensions douloureuses sous les pieds, qui sont le réceptacle du corps humain. La médecine chinoise le sait, qui pratique la réflexothérapie depuis plus de 3000 ans, pour apaiser les tensions dans tout le corps, avec succès.

     

    QUAND NOS DOULEURS PHYSIQUES RÉVÈLENT NOS MAUX D'ÂMES !

    Comme vous le voyez, notre énergie physique fait écho à nos états émotionnels. En "réparant" notre esprit, on améliore et on entretien notre capital-santé, grâce à un plus grand tonus et une meilleure sérénité.

    QUAND NOS DOULEURS PHYSIQUES RÉVÈLENT NOS MAUX D'ÂMES !

     

     

     

     

     

    QUAND NOS DOULEURS PHYSIQUES RÉVÈLENT NOS MAUX D'ÂMES !

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  • AUJOURD'HUI, C'EST LA JOURNÉE DE LA GENTILLESSE

    Depuis quelques années déjà, s'est instaurée la jolie coutume des "journées spéciales". Ce vendredi est donc dédié à la gentillesse.

    Je ne suis pas du tout contre le principe, mais certaines "dédicaces" m'interpellent et me gênent un peu. Pourquoi consacrer spécialement une journée à cette qualité qui devrait toujours aller de soi pour chacun d'entre nous ?

    Il n'y a pas si longtemps, la gentillesse, tout comme la politesse et le respect, faisaient intégralement partie de ces principes d'éducation "élémentaires" qui faisaient d'un enfant un futur adulte équilibré, à qui on pouvait, par principe accorder sa confiance.

    Dans ce monde où tout va maintenant très vite, trop peut-être pour certaines choses, qu'en est-il de la transmissions de ces valeurs ? Les enfants, plus précoces qu'à une certaine époque, ont parfois tendance à vouloir tout exiger tout de suite... en oubliant parfois le sens de l'effort et du travail bien fait, la patience et le plaisir de recevoir certains cadeaux au "bon moment".

    Quand j'étais enfant, anniversaires et Noël se fêtaient vraiment au moment opportun. Quand nous demandions, hors contexte, le dernier "joujou" ou objet "à la mode", il nous était souvent répondu que le superflu se "méritait", que les finances familiales n'étaient pas élastiques... Et que les vêtements, chaussures ou cartables non usagés pouvaient encore faire "une année".

    L'argent de poche n'allait pas forcément "de soi". Dans ma famille ce n'était pas l'usage. Je n'en ai jamais eu, et cela ne m'a pas empêché de grandir, tout comme la plupart de mes camarades d'ailleurs. Il ne nous était nullement interdit de "demander", mais nous devions, c'est vrai, souvent "argumenter" pour obtenir... et les demandes devaient être faîtes poliment, cela allait de soi.

    La gentillesse, l'honnêteté, la probité, le respect de soi et d'autrui, toutes ces valeurs devraient être pratiquées par tous, aussi naturellement que nous respirons... et aucune "journée spéciale" ne devrait être instaurée pour nous les remettre en mémoire.

    Aujourd'hui étant le jour de la "gentillesse", je vous souhaite de le vivre pleinement, et d'en recevoir des marques "à foison".

    AUJOURD'HUI, C'EST LA JOURNÉE DE LA GENTILLESSE

    AUJOURD'HUI, C'EST LA JOURNÉE DE LA GENTILLESSE

     

     

     

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  • LES ORIGINES DE LA FÊTE D'HALLOWEEN

    Cette fête est très ancienne, puisqu'elle remonte aux Celtes. Leur calendrier annuel commençait le 31 octobre, avec cette fête, appelée alors SAMAIN. 

    Samain était pour eux à la fois le Gardien de la frontière de l'Au-Delà et le Dieu de la Mort. Les Celtes étaient persuadés que celui-ci permettait, une fois l'an, aux âmes tourmentées de venir demander aide ou justice aux vivants.

    Ils craignaient ces âmes et, pour se concilier leurs bonnes grâces, ils laissaient près de leurs maisons des offrandes de nourriture - principalement le pain et le sel purificateur - destinés à refaire leurs forces entamées par leur longue errance... et illuminaient leur chemin de retour avec de petites chandelles, ceci pour éviter qu'ils ne décident de rester là à les hanter sans cesse.

    Aux premières lueurs de l'aube du 1er Novembre, les portes de Samain se refermaient jusqu'à l'année d'après. Les prêtres écoutaient la semaine suivante les récits de ceux qui avaient été "hantés" pendant la nuit éprouvante qui venait de s'écouler... et essayaient de régler leurs problèmes. Ceux qui étaient liés à des crimes jusqu'alors impunis (et dénoncés par les "esprits" des victimes) étaient traités en priorité... les "supposés" meurtriers étant alors pendus sans autre forme de procès, toujours dans l'intention de "calmer" définitivement la colère des esprits errants et leur procurer le repos éternel.

    LES ORIGINES DE LA FÊTE D'HALLOWEEN

    Les siècles ont passés... Les traditions liées à cette fête ont évolué, Dieu merci !

    Nos chérubins se déguisent, pour l'occasion, en charmants petits fantômes, grimés de façon effrayante ça va de soi, et réclamant non plus justice ou soulagement pour d'éventuelles fautes passées, mais des friandises... rappelant les anciennes offrandes de nos ancêtres celtes.

    LES ORIGINES DE LA FÊTE D'HALLOWEEN

    Ayez donc pitié de leurs petits estomacs affamés... Ne leur fermez surtout pas la porte, donnez-leur les bonbons qu'ils vous demanderont, pour éviter qu'ils ne vous lancent un sort, pour vous punir de "l'avarice" dont vous auriez fait preuve.

    Je vous souhaite de passer une joyeuse fête d'Halloween en leur charmante compagnie !

     

     

    LES ORIGINES DE LA FÊTE D'HALLOWEEN

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  •  Promenade dans les collines limousines

    Il est 17 heures 30. Les collines du Limousin s'étalent sous mon regard. Superbe panorama visuel... Le calme de cette agréable fin de journée est propice à la détente, aux rêves éveillés... Douceur exceptionnelle de cette mi-automne.

    "A quoi penses-tu, Madame ?"

    La voix enfantine m'a fait sursauter. A quelques pas de moi, une fillette me sourit. Une grosse barrette retient ses cheveux bruns que le vent léger ébouriffe. Bien plantée sur ses jambes, du haut de ses 6/7 ans, elle réitère sa question.

    "Dis Madame, à quoi penses-tu ?"

    "A beaucoup de choses... Mais tu es trop petite pour comprendre..."

    Ses yeux marrons me fixent intensément.

    "Vous les grands, vous êtes trop compliqués... Arrête de penser et viens avec moi. Je te révèlerai un secret... ton secret !"

    Sa  petite main s'enhardit et prend la mienne.

    Souriant à mon tour et voulant lui faire plaisir, j'accède au désir de cette petite inconnue qui me fait face. Le vent frais caresse mon visage. Je quitte le village, aborde un sentier. Autour de moi, l'air est embaumé... on dirait que la colline est encore fleurie...

    Je ne sais plus où je suis ni où je vais. Et pourtant, je ne suis pas inquiète. La petite main m'entraîne, toujours plus vite, toujours plus haut. L'air qui se fait soudain plus vif me saoule un peu.

    Perchée sur la colline, mes yeux contemplent alors le village accueillant, soudain semblable à un jouet d'enfant. J'imagine un instant le grouillement incessant des gens qui rentrent après une journée de travail, tels des fourmis besogneuses... sans finalement beaucoup profiter de leurs vies.

    Près de moi, la fillette se met à fredonner : Je suis fille d’Éole et je commande au vent, au vent qui tourbillonne dans mes cheveux d'enfant."

    Les paroles enfantines me vrillent l'âme... Des souvenirs remontent soudain à ma mémoire, incontrôlables... comme le flot de la rivière que les premières pluies a grossi, et qui coule bruyamment, à quelques mètres à peine de l'endroit où nous sommes.

    Face à moi l'enfant, bras étendus, tourne sur elle-même, tourne lentement en continuant son chant. Les rayons du soleil couchant la nimbe de lumière. Puis elle s'assoit lentement au bord de l'eau, sans me quitter du regard.

    Promenade dans les collines limousines

    Nos yeux se croisent alors... Une paix profonde m'envahit.

    L'adulte souvent tourmentée que je suis, au détour d'un sentier, s'est silencieusement réconciliée avec l'enfant trop tôt délaissée... cette enfant qui vivait encore au fond d'elle-même, double idéalisé.

    18 heures 30 viennent de sonner au clocher de l'église. Je quitte à regret la colline limousine. Bientôt la nuit va tomber sur cette région aux mille secrets.

    Ma vie est ici désormais.

    Promenade dans les collines limousines

     

     

     

     

     

     

     

    Promenade dans les collines limousines

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